↑ Carte postale du Mexique, Étienne Cliquet 3., 2017.
150 images ramenées de l'état du Yucatan, du Michoacán et de Mexico.
Une suite de micro évènements autour du graphisme du 18 novembre au 2 décembre 2017 QUOI
MATIÈRE
SIGNE
IPN,
30 RUE DES JUMEAUX
TOULOUSE
Ce chapitre questionnait le graphisme au prisme de l’apparition des formes, de la matière, de la diversité des modes de faire et de reproduction. Des artistes étaient en résidence dans les ateliers du collectif IPN. L'exposition restituait leurs productions et réunissait une collection d'objets protéiformes et d'autres images, toujours autour de cette question : QUOI MATIÈRE SIGNE ? Plusieurs rendez-vous augmentaient aussi la proposition : conférences, présentation de livres, concert, etc.
QUOI MATIÈRE SIGNE est porté par le collectif Octocode, rendu possible par le collectif IPN et pensé par carbone paroles.
Construction des images, duplication des formes, reproductions éditoriales : modes de fabrication et techniques d’impression impactent les formes produites. Des processus de conception des formes à leur matérialisation puis à leur lecture - multiples, cette année s’imbriquent matière et signe : en rapprochant objets et graphisme.
http://www.quo.ooo/i/matieresigne/ https://www.facebook.com/quoimatieresigne


Les trois enregistrements des conférences du 22 novembre 2017.
▶ Pia Pandelakis, Passion de l'inventaire et résistance de la chose molle
▶ S-Y-N-D-I-C-A-T, Sacha Léopold, L'usage des images / à propos de la Revue Faire
▶ Jérôme Dupeyrat, La pratique iconographique de Batia Suter
▋ Autour/Avec, un texte écrit par Pauline Thillaye à l’occasion de Quoi Matière Signe.

▋ Blob,Blob : considérations sur le destin de la matière dans la culture,occidentale, un article écrit par Pia Panlekis à l’occasion de Quoi Matière Signe. (article mis en page par Yasmeen Lefebvre)

▤ La sélection de livres autour de l’exposition Quoi Matière Signe a été réalisée en collaboration avec la librairie Terra Nova à Toulouse.

▤ Des publications imprimées issues de différents horizons ont rejoint l’exposition. Avec cette sélection se déployait un panorama étendu des propositons éditoriales faisant écho aux propositions graphiques et artistiques présentées dans l’exposition.

⋀⋀⋀ Sur une invitation de la ville de Tournefeuille, l’exposition s’étend aussi  dans les vitrines du TRANSFO, espace d’exposition public et urbain. La collection d’objets y revit là bas sous forme imprimée.
QUOI MATIÈRE SIGNE
est soutenu par la Mairie de Toulouse, la Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée et la direction régionale des affaires culturelles Occitanie.
QUOI MATIÈRE SIGNE intègrait la programmation de la 9ème édition de Graphéine, festival des arts graphiques du réseau PinkPong. Le projet existe grâce aux membres bienveillants et exigeants du collectif IPN. D’autres partenaires ont permis de faire naître ce projet, notamment la société SEIREB et le fabricant RISO qui ont mis à disposition un duplicopieur et ses couleurs étincelantes et la librairie Terra Nova qui a partagé une sélection pointue d’ouvrages.
On remercie tous les gens qui ont suivi le projet de près ou de loin. Tous les artistes en résidence, particulièrement investis et à l’écoute, dont on est heureux d'avoir exposé les productions. ◆ Aurélie, Élise, Richard, Noémie, Antoine, Yann, Lucas, Laura, Sacha, François, Étienne ◆ Tous les participants à l’exposition qui ont prêté gracieusement leurs créations ou pris la parole. ◆ Fanette, Sébastien, Francine, Marie, Gaëlle, Laura, Marine, Clément CDV, Baptiste, Clément R, Gwendal, Claire, Bertrand, Brice, Louise, Charles, Sammy, Stéfanie, Clément CH, Pia, Laure, Pauline, Jul, Rémi, Marion, Hugo, Boris, Anto, Antonin et Liza et SILO, Jérôme QUOI MATIÈRE SIGNE est porté par le collectif Octocode, rendu possible par le collectif IPN et pensé par carbone paroles.

QUOI MATIÈRE SIGNE existe grâce à la participation gracieuse ou presque des artistes invités. Ils ont répondu avec enthousiasme et exigence à une proposition aventureuse. ◆ Quoi Matière Signe a été possible grâce à l’engagement exceptionnel et presque aveugle de nombreux bénévoles. C’est une équipe de plus de 20 personnes qui est derrière. Ainsi, deux personnes ont travaillé gratuitement pendant un an à organiser, penser, communiquer, chercher de,l’argent, dialoguer, dessiner, écrire. Puis cinq personnes ont amorcé la mise en place de l’exposition, bientôt rejoints par plus de 5 autres. ◆ Une dizaine de personnes a travaillé en continu pendant deux semaines sur la mise en place de l’exposition pour souder, couper, visser, poncer, peindre, éclairer, nettoyer, imprimer, massicoter, plier, agrafer, compter, recompter, (…) De nombreuses personnes ont été,sollicitées pour leur aide précieuse sur des points précis : numérique, recherches de financement, impression, communication, réalisation, construction (…) Quatre personnes ont hébergé les artistes à titre grâcieux. Quatre stagiaires se sont dévoués entièrement au projet, en ne comptant plus les heures sur les deux semaines de montage. Tout le monde a fait à manger, ranger, distribuer de la com, (…) La liste serait à poursuivre : une équipe n’a pas hésité à faire don de savoir-faire et de temps précieux pour cette proposition. ◆ On remercie donc ici l’ensemble du collectif IPN pour avoir permis à cet évènement d’exister et tous ces participants de l'ombre. Remerciements tout particuliers à l’équipe,incroyable de montage : Antony Lille, Emmanuel Jaudard, duo, incroyable et déter, tout le long du projet et puis Benjamin Paret, Clément Capdevielle, Nicolas Jaoul, Marie Brochard, Théo Abadon, Laura Freeth, Rémi Blanes, Simon Pret, Céline Ledru. ◆ Les stagiaires en or à la création graphique, la médiation et l’aide à l’installation : Barthélémy Cardonne, Inès Gamboa, Yasmeen Lefebvre, Alexis Plard. Pauline Thillaye et Pia Pandelakis, exigeantes, averties et attentives.
Aux proches qui nous ont aidés : Philippe Pitet et William Gourdin pour leurs conseils précieux de grands manitous de la finance. ✧ Sylvie Piaud en céramiste à l’écoute. ✧ Sylvain Barra pour son aide précieuse en programmation. ✧ Patricia Ferrara, Stéphane Castet et Luc Michel qui nous ont éclairés de leurs lumières. ✧ Edith et son ordinateur pour la Riso. ✧ Nadège et ses tee-shirts.,La brasserie la Boissonerie générale. ✧ Karine pour toutes les impressions et les coupes. ✧ Mireille et Jean-Marc, Audrey et Olivier, comme hôtes généreux. ✧ Jules en émissaire bruxellois. ✧ Béné, Rémi et Chloé pour leurs mets savoureux. ✧ Sébastien et Gaëlle pour leurs conseils. ✧ Céline pour son soutien. ✧ Avec la participation de la librairie Terra Nova. ✧ Remerciements tout particuliers à Arielle. ✧ Stéphane Mounica et la section DSAA du Lycée des Arènes pour leur soutien. ✧ Avec la participation de la librairie Terra Nova. ✧ Gretel pour son pain. ✧ Antoine et Céline pour les gardes de Rita et Luce. ✧ Cornelia pour ses fromages. ✧ Icham pour la récup’ de fou. ✧ TA pour les prêts de matos et les conseils en tous genres et tout particulièrement Antoine pour la fraiseuse numérique et Dylan et Combustible pour l’imprimante 3D. ✧ Kilostock pour les cintres. ✧ Les professionels de la culture qui veillent sur nos pas de débutants, Arnaud, Manu, Marie A, Paul, Vanessa, Marie B, Pierric (...) ✧ On en a très certainement oublié, on les remercie pourtant. Tout notre amour. Bisous. Sylvain et Bianca, aka carbone paroles.

Éclater le signe VERNISSAGE
Samedi 18 novembre 2017, 19h

Précipiter la forme EXPOSITION L’exposition réunit à la fois les productions d’artistes invités en résidence et des objets graphiques.
L’exposition sera ouverte entre le 18 novembre et le 2 décembre 2017 du vendredi au dimanche, de 13h à 19h et lors des évènements ouverts au publics. Visites groupées hors temps d’ouverture possibles sur demande.
UNE RESTITUTION DE RÉSIDENCE En amont de la manifestation, nous accueillons des artistes dans les ateliers d'IPN. C'est l'occasion pour chacun de se retrouver un moment, ailleurs, et produire en vue d'une monstration imminente. Marseille Local Business, Élise Carron et Richard John Jones, 7. artistes
Aurélie Pagès, 2. artiste, enseignante
Documents (Antoine Lemarchand, Noémie Santos, Yann Ott) + Savignac&Sifoni, 1. atelier de graphisme
UNE COLLECTION D'OBJETS GRAPHIQUES Une collection d’objets graphiques sera exposée. On peut y voir des objets de collection, des objets de design singuliers, des objets imprimés, des objets industriels, des objets artistiques, etc. Cette collection permet à la fois de faire liant entre les différentes propositions de l’exposition, en touchant aux thématiques transversales, mais aussi de confronter les différentes valeurs de ces objets. Avec : Fanette Mellier, Sébastien Degheil & Francine Triboulet, ROVO, Marie Sirgue, Laura Freeth, Marine Semeria, Clément Capdevielle, Clément Rosenberg, Baptiste Charneux, édition copie double, Surfaces Utiles, A+B, Louise Devalois, Diane Trouillet, Nicolas Jaoul, collection Charles Montano (objets africains de la Galerie l'Atelier), Sammy Stein, Stephanie Leinhos, Clévain Charmeil et les Jardins synthétiques, ILLOTEB, PAL, SILO, collection Sylvie Piaud (Hervé Rousseau, Agnès Chapelet, Markus Klausmann, Richard Dewar), Charlotte de Sédouy, carbone paroles (...)
Des textes intègreront aussi cette collection. Avec : Pia Pandelakis, 9. Pauline Thillaye, 8. (...)
UNE SECONDE COLLECTION AUTOUR DE LA REVUE FAIRE À l'occasion de la sortie du 4ème numéro de la revue Faire, S-Y-N-D-I-C-A-T propose de réunir les objets d'étude de celle-ci. C'est l'occasion de découvrir ces différentes oeuvres graphiques confrontées les unes aux autres. S-Y-N-D-I-C-A-T, 10. studio graphique

Parcourir la zone image CONFÉRENCES Passion de l'inventaire et résistance de la chose molle Pia Pandelakis, 9. chercheur*e en design, enseignante
Mercredi 22 Novembre 2017, 19h30 L'usage des images / à propos de la Revue Faire S-Y-N-D-I-C-A-T, 10. studio graphique
La pratique iconographique de Batia Suter Jérôme Dupeyrat, 5. historien de l'art
Dédoubler le drapeau BARAQUES ÉDITORIALES ET OUVRAGES GRAPHIQUES Le samedi 25 novembre, des publications imprimées issues de différents horizons rejoignet l’exposition et sont disponibles à la consultation et à l’achat. Avec cette sélection se déploie un panorama étendu des propositions éditoriales faisant écho aux propositions graphiques et artistiques présentées dans l’exposition. On y trouvera entre autres: Super Structure, Surfaces Utiles avec la Revue La perruque, CSH, Copie Double, SILO, les Éditions Matière, The Shelf, Pli Revue (...)
Samedi 25 novembre de 13h-20h

Faire crier l’image FINISSAGE Dictées Dessinées Collectif Octocode On lit, vous dessinez
Samedi 2 décembre, 19h Concert Knut hameçoun, 6. Bruit
Mix electro/house/afrohouse/dancehall/weird dj die, 4. pour danser


WWW.QUO.OOO/I/MATIERESIGNE Une extension de l'espace physique en ligne. Zone d'informations. Conçu comme un lieu annexe à l’exposition, la conception de l’espace en ligne est d’Étienne Cliquet. Étienne Cliquet, 3. artiste et enseignant
Une première édition de l’évènement a eu lieu en décembre 2016. Elle s’intitulait QUOI NOIR LIGNES et questionnait le rapport étroit entre typographie et dessin avec une sélection graphique toute de noir. www.quo.ooo/i/noirlignes/ Le projet est porté par l'association Octocode qui a pour objet la constitution et la rencontre d’équipes artistiques autour de projets originaux proches du champ du design graphique. Organisation et graphisme: carbone paroles (Sylvain Ameil et Bianca Millon-Devigne)
Typographie: Karmilla (OFL/Jonathan Pinhorn)
Aide à la programmation: Sylvain Barra et Théo Abadon
L'an dernier, et cette année encore, l'événement est accueilli par le collectif IPN où se déroulent résidences et expositions. WWW.IPN.MAISON Durant la période de montage et d'exposition, la société SEIREB et le fabricant RISO mettent à disposition un duplicopieur et ses couleurs étincelantes.
QMS intègre la programmation de la 9ème édition de Graphéine, festival des arts graphiques du réseau PinkPong. www.pinkpong.fr/grapheine QUOI MATIÈRE SIGNE est soutenu par la Mairie de Toulouse, la Région Occitanie / Pyrénées-Méditerranée et la direction régionale des affaires culturelles Occitanie.


QUOI MATIÈRE SIGNE
1. Documents (Antoine Lemarchand, Noémie Santos, Yann Ott) + Savignac&Sifoni, Toulouse. www.documents.design www.unebrique.fr www.yannott.com https://laurasavignac.com/ https://lucassifoni.info/ Graphistes associés, installés à Toulouse, nous dessinons des signes, des systèmes graphiques et des outils de communication. Nos méthodes de recherche visent à définir des scénarios de lecture pour des projets d’échelles variables ; dessin de caractère, design éditorial, design d’information et signalétique. Les langages visuels que nous concevons résultent d'une étude de contexte et d'un échange soutenu avec nos commanditaires. Chaque rencontre est l’occasion d’un dialogue nourri de références empruntées à la littérature, au cinéma, à l’architecture et à des disciplines connexes. Attachés à la matérialité des objets imprimés et à leurs modes de fabrication, il nous arrive de temps à autre, de jongler avec des lettres de plomb sur une presse typographique Heidelberg. variations, surfaces alphabets, figures impressions, soleil levant
2. Aurélie Pagès, artiste, enseignante, Paris. http://www.aureliepages.fr Aurélie Pagès développe des recherches autour de l’image et des procédés de reproduction : expérimentations graphiques liées à l’écriture et au montage par différents gestes d’enregistrement. Des sortes d’emprunts-empreintes du réel. Un geste - proche de celui du sismographe - quelque chose lié à l’enregistrement d’un «bruit visuel», d’une capsule temporelle - voire de l’empreinte d’une image acoustique. Écrire avec des images ? Des images en «circulation». Aborder l’image à partir des notions de mobilité et de multiplicité. S’intéresser à leur mouvement physique, leur altération -le glissement de sens produit par des opérations de transfert - vers une matérialité et un contexte d’apparition différents. Des matières hybrides, de nature ou d’origine ambigües. Pour l'essentiel, les sources sont de nature filmique ou photographique, des images techniques… des projections, des reproductions… des images produites par des appareils… Des images de seconde main… Des indices, des «chronosignes». Assemblés en séquences - sorte de «films en pièces détachées», les éléments sont connectés pour évoquer un climat, des «conditions atmosphériques».
3. Étienne Cliquet, artiste, enseignant, Toulouse. https://ordigami.net En 2016, Karen Zack aka TeenyBiscuit a posté sur son compte Twitter une série de montages photos d'animaux et de nourriture qui se ressemblent et se confondent tant par la matière, la couleur que le motif. Mon préféré juxtapose des photos de muffins et de chihuahuas mais il y en a d'autres comme la crème glacée et les dalmatiens, les bagels et les caniches… J'ai découvert une photo de cette série pour la première fois lors d'une conférence du sociologue Dominique Cardon sur les algorithmes et l'évolution des statistiques avec Internet. J'ai cru qu'il s'agissait d'une erreur de reconnaissance d'image d'un algorithme avant de trouver la source. Au second tour de l'élection présidentielle, des étudiants s'étaient réunis à Bastille le 1er mai en scandant «Ni Marine ni Macron, ni patrie ni patron». J'ai beaucoup aimé ce slogan. Quelques mois plus tard à Munster, j'ai vu inscrit sur un mur un slogan qui aurait pu également convenir aux candidats du second tour : «No nazi, no sosie».
4. Active sur Toulouse depuis près de quinze ans, Dj Die mixe de la musique. Entre luttes, squats, université et travail salarié, elle a proposé ces dernières années des mixs qui ont fait flamber les dancefloors. Ce qui était au début juste une playlist, est devenu un enchaînement de morceaux appropriés et avec transition entre chacun. Dj Die est l'opposé du pro, du propre, du matos de fou et de la renommée internationale. Ce qu'elle kiffe par dessus tout ? Relever la tête de son ordi et voir la salle danser et tout le monde le sourire aux lèvres. De la musique, celle que vous connaissez sous un autre jour, celle jamais entendue, celle qui va résonner dans vos oreilles pendant plusieurs jours, celle qui va vous faire découvrir vos talents de danseur.euse. Un enchaînement minutieux de sons et de tubes entrelacés servis à la sauce Dj Die. De la sueur, des sourires, la poussière soulevée par les pas de danse effrénés d'un public en folie, des paillettes, des circuits imprimés, le plastique froid de l'ordinateur, la vibration chaude des caissons de basses. Le poing levé, le signe «merci» en lsf, les clins d’œil, les hochements de tête qui suivent le rythme.
5. Jérôme Dupeyrat, historien de l'art, Toulouse. http://jrmdprt.net/ Ses activités (souvent collectives : Agence du doute, <o>future<o>, La Bibliothèque grise) incluent la recherche, la critique, l'édition, le commissariat d'exposition et l'enseignement. Ses recherches portent en particulier sur les publications d'artistes, et plus largement sur les liens entre art, édition, image(s) et média(s). Une bibliothèque, les livres qui s'y trouvent, les textes et les images qu'ils contiennent. Le tissu recouvrant un livre entoilé
6. Knut hameçoun c'est de la boîte à rythme jouée en live et du larsen de table de mixage, ainsi que du chant scandé rappé pitch-shifté, soit un set noise et rythmé. De la musique énervée Plastique métal 兆し
7. Marseille Local Business, Élise Carron et Richard John Jones, artistes. https://marseillelocalbusiness.hotglue.me, http://rjj.website, https://elisecarron.hotglue.me Marseille Local Business est une collaboration partie des préoccupations individuelles de Jones et Carron : le costume et le t-shirt comme matériel de sculpture et aussi comme un panneau d’affichage libre personnel. Marseille Local Business est un geste artistique et une entreprise commerciale. Le projet est un réflexion de l’attitude et des qualités identitaires spécifiques de la ville de Marseille.Les «collections» sont fabriquées à partir de vêtements d’occasion d’entreprises locales, et comprennent souvent les logos originaux des commerces, entreprises,équipes sportives ou des organismes municipaux de la ville de Marseille. Ces t-shirts sont ensuite ré-imprimés avec une technique entre sérigraphie et peinture.Marseille Local Business a travaillé avec OKAY CONFIANCE, des expositions et aussi avec les entreprises locales comme Charly Pizza. Marseille Local Business s’approprie les stratégies de grandes marques de vêtements de sport en créant des slogans qui contiennent la promesse de possibilités infinies et l’image d’une puissance individuelle. Marseille est aussi surtout une ville où la tenue de sport est l’uniforme. Par opposition à la promesse des marques de sport, MLB utilisent les t-shirts délaissés par la main-d’œuvre locale. Aussi, tout les motifs sont fait artisanalement et le “geste” de l’impression apparent crée des séries uniques. L’intention de cette collaboration est d’explorer les nouvelles idées de l’accessibilité des œuvres d’art et comment les artistes peuvent travailler entre un contexte local et international. Marseille Local Business est une collaboration partie des préoccupations individuelles de Jones et Carron. C’est un geste artistique et une entreprise commerciale. Le projet est un réflexion première de l’attitude et des qualités identitaires spécifiques de la ville de Marseille mais s'ouvre aujourd'hui sur d'autres villes comme ici Toulouse. Nous travaillons avec le costume et le t-shirt comme matériel de sculpture et aussi comme un panneau d’affichage libre personnel. L’intention de cette collaboration est d’explorer les nouvelles idées de l’accessibilité des œuvres d’art et comment les artistes peuvent travailler entre un contexte local et international.
8. Pauline Thillaye étudie et recherche sur le design et ses gestes. ce que nous avons mis au monde l'iceberg l’invisible et le visible de l’iceberg
9. Pia Pandelakis, chercheur*e en design, Toulouse. www.piapandelakis.com Pia Pandelakis est maître de conférences en design (spécialité design graphique) à l’Université Toulouse - Jean Jaurès où elle enseigne notamment dans le cadre du master DTCT et appartient au laboratoire LLA-CRÉATIS. Ses recherches actuelles, inscrites dans le champ des études culturelles / gender studies articulent cinéma et design (projet CinéDesign), et travaillent à penser les méthodologies d'un queer design. Spécialisé*e en design graphique, elle s'intéresse au Web design ainsi qu'à l'illustration, qu'elle relie à sa pratique de la recherche dans des «actes dessinés» inspirés par le champ de la facilitation graphique. Plutôt l'infini Velours côtelé •, +, et *
10. S-Y-N-D-I-C-A-T (Sacha Leopold / François Havegeer / Kevin Lartaud), studio graphique, Paris. http://s-y-n-d-i-c-a-t.eu/ Sacha Léopold et François Havegeer nés respectivement en 1986 et 1987, travaillent à Paris sous le nom de Syndicat depuis 2012. Ces deux graphistes fondent la maison d’édition Empire en 2016 avec Kévin Lartaud au sein de laquelle ils rééditent la Norme graphique de la NASA (2016) et collaborent avec l’artiste Yonatan Vinitsky à la conception de l’ouvrage The middle of the world (2017). À partir d’octobre ils éditeront la revue bimensuelle Faire, revue critique et analytique des formes et activités liées au graphisme. Syndicat a également réalisé le commissariat d’expositions telles que Monozukuri: formes d’impression (2012), Monozukuri: façons et surfaces d’impression (2013), Grapus, exposition sur un collectif de graphistes (Esad Amiens, 2015), et participé à des expositions telles que Les Magiciens de la terre, retour sur une exposition légendaire (Centre Pompidou, 2014), L’usage des formes (Palais de Tokyo, 2015) ou Ne te retourne pas (MABA, 2016). Quoi ? La Matière d'un livre Le Signe d'une discussion
La collection d'objets est possible grâce à la contribution de :
Fanette Mellier https://fanettemellier.com/ Papillon imprimeur
Carbone paroles http://carboneparoles.com/ Objets réalisés dans le cadre de la résidence 19 Cannes proposée par la Mairie de Toulouse.
Sébastien Dégheil & Francine Triboulet http://www.sebastiendegeilh.com/ GRAPHMIQUE, FT/SD, collusion 2 ou 3​
ROVO + Marie Sirgue https://www.mariesirgue.com/ Épreuve
Laura Freeth
Marine Semeria http://www.marinesemeria.fr/ Blanchiment
Clément Capdevielle vagus vaacus, sacs plastiques
Baptiste Charneux http://www.baptistecharneux.com/ snippets
Clément Rosenberg http://clementrosenberg.com/ monstres et merveilles
édition copie double http://www.copiedouble.org/
Surfaces Utiles http://surfaces-utiles.org/revue-la-perruque.html revue la perruque
A+B designers http://aplusbdesigners.com Miroirs
Louise Devalois et Diane Trouillet http://livreorganique.tumblr.com/ le livre organique
Nicolas Jaoul http://nicolasjaoul.tumblr.com/
Charles Montano, Galerie l'Atelier https://galerie-latelier.com/expert-art-africain/
Sammy Stein http://cargocollective.com/sammystein Adieu, Multimonde
Stéphanie Leinhos http://stefanie-leinhos.de/ the throwing stone
Clévain Charmeil & Les Jardins synthétiques têtes
Pia Pandelakis Blob Blob : considérations sur le destin de la matière dans la culture occidentale
Pia Pandelakis Blob Blob : considérations sur le destin de la matière dans la culture occidentale
Pauline Thillaye Autour/Avec
ILLOTEB
PAL
SILO
Charlotte de Sédouy http://quesepassetil.net